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Simplon.co, Close the Gap, ATRenew et Huawei lancent DigiTruck, un programme de formation itinérant


A l’occasion du salon VivaTech, Huawei annonce, aux côtés de ses partenaires Simplon.co, Close the Gap et ATRenew, le lancement du programme DigiTruck. Le DigiTruck accueillera au sein d’un véhicule itinérant et connecté des personnes en difficulté numérique – sans accès ou avec un accès limité aux ressources digitales – afin de leur proposer des formations de base en informatique.


DigiTruck


Le projet DigiTruck a été conçu pour améliorer les compétences des personnes éloignées du numérique (jeunes adultes, demandeurs d’emploi, et seniors) en leur offrant des formations au sein d’un conteneur reconverti en salle de classe mobile et connectée.

Le DigiTruck dispose de 20 postes de travail équipés de tablettes, d’un réseau local, d’un rétroprojecteur, ainsi que de smartphones Huawei. L’installation est alimentée par l’énergie solaire grâce à des panneaux installés sur le toit.


Cette salle de classe itinérante est déployée en France grâce au partenariat avec Simplon.co qui propose des formations numériques, Close the Gap, une entreprise engagée dans la lutte contre la fracture numérique, et ATRenew, une plateforme axée sur le recyclage d’appareils numériques, et qui a fait don de tablettes et de smartphones. Les formateurs de Simplon.co accompagneront le DigiTruck, aménagé par Close the Gap, au travers de la région Hauts-de-France et dispenseront les cours aux participants.


Un programme pour réduire la fracture numérique


Le DigiTruck se concentrera sur les « Quartiers Prioritaires de la Ville » (QPV) qui ont un besoin important d’accès à la formation et à l’emploi.


Le programme est organisé en cours de 90 à 120 minutes, chacun concentré sur une compétence spécifique, avec 3 à 4 sessions quotidiennes. Les cours couvriront les compétences numériques sur trois niveaux (débutant, intermédiaire, avancé) et permettront de se familiariser avec les appareils, d’utiliser les services de messagerie et les outils de conférence en ligne. Ils répondront également à des objectifs ciblés comme « mettre en forme un document professionnel » ou « remplir un formulaire administratif en ligne ».

Dans le contexte de la crise du Covid-19 où de nombreuses activités ont basculé en ligne, ces formations ont pour objectif d’améliorer les compétences des participants et de réduire les inégalités face à l’emploi. Elles doivent également leur permettre de garder le contact avec leurs proches alors que certaines restrictions limitent encore nos déplacements.

En outre, le DigiTruck proposera des ateliers aux volontaires et travailleurs sociaux engagés dans des actions de médiation, ainsi que des temps d’utilisation libre pour que les participants puissent mettre en pratique les compétences apprises.


« L’épidémie de Covid-19 a révélé une véritable fracture numérique dans la société française en montrant que nous ne sommes pas tous à l’aise avec ces outils devenus indispensables. C’est pourquoi, nous sommes ravis de participer à cet ambitieux projet aux côtés de nos partenaires. Nous avons réuni nos expertises respectives au nom d’une belle ambition : favoriser l’inclusivité digitale », affirme Frédéric Bardeau, président et cofondateur de Simplon.co.


« La digitalisation de la société et des entreprises s’est fortement accélérée. Afin d’assurer la continuité de nombreuses activités désormais en ligne, il est désormais nécessaire d’avoir de solides compétences. Aussi, il est de la responsabilité d’un groupe comme Huawei de contribuer à réduire la fracture numérique et de promouvoir les connaissances digitales pour soutenir le développement économique », indique Linda Han, déléguée générale de Huawei en France.


Un premier déploiement dans les Hauts-de-France


Le DigiTruck sera lancé sur les routes des Hauts-de-France. Les cours se dérouleront dans le respect des recommandations et mesures sanitaires en vigueur. Le DigiTruck souhaite réunir 6 000 participants, avec une moyenne de 10 personnes par séance, 40 participants par jour et 200 participants par semaine. Si les conditions sanitaires évoluent positivement, le programme pourrait atteindre 10 000 participants.

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